De la peur et du pire
Le parfum de la peur et du pire
Par les pores d’une peau éthique
Et l’effort presque sans force
Sent encore l’entorse rythmique
D’alchimies aléatoires en chance notoire
Il n’y a qu’à broyer du noir
Le dire afin de quitter la sombre lueur
De l’extérieur…
En sueur tu sais pourtant pour toi
Ne sont qu’étoilés totems
Et ton regard bohème
Viendra intensifier les miennes
L’effet du vain et des veines
Fracassées d’émois feront des autres
Ce que tu empruntes au nôtre…