Au moindre cœur
Elle se demande laquelle,
Dans son devoir, accidentelle,
Il l’a consumé, dans la torpeur
De cette histoire, profitant piètre désespoir
De l’un de l’autre, indolent le câlin
Qu’il fut divin et se donner tant de mâle
Palpable au moindre cœur féminin
Payable en natures mortes et timbales
Des matinées enfantines
Délicieuses badinent…
Et dans le creux des nombrils éparpillés,
Les yeux écarquillés, car pillés
De sang froid et de son toi,
S’en vont les malignes et restent dignes
Les poupées et leurs époux époumonés
De répéter les maux d’amour
Sans la justesse de la prouesse
Dans l’ombre d’une liasse
Mais pourtant seule la mélasse
Fabulera sur les blessures délaissées.