...NOUS MENENT EN
BATEAU
Le toi d’émoi De le supporter l’étau
Qui parfois Nous mène en bateau
Mais bats-toi Le moi de toi
Débordante bon aloi
Ça pour sûr fausse la foi
Mais l’effort de vertu
Devient vite très charnu
Et les lendemains bredouilles
Regrettes l'odeur et les débrouilles
Guette la ferveur écoute les heures
Leurres qui tic en toc
De la dite belle époque.
Le moi du toit se penche un peu
Qui souvent s’élance sur l’aveu
Puis épuise le pouvoir
De satisfaire et d’échoir
Le zèle coupé, la cage ouverte
Tous ces besoins de buttoirs
Les mouchoirs et l’œil inerte
Les maux se concertent
L’émotion qui parfois mire
Ce que celle déchue admire.