L'éteinte colorée

de gré saturé, des   panser

sans contes à miner les singuliers,

d'anticiper l'ombre âgée, dialoguent

l'âme hantée , l'analogue.

L'un vente et, l'autre, latente tangente,

des maux d'errer, jadis enjoués,

Lits sans cieux, d'en "Je" osés.

Lassée, lexie, tant démise à nu, à lier

nait là, l'égo rie, d'ébauches

en aubes saines, dès avoués

les avis, lissants mêmes,

l'abusent et l'amuse,

le jeu blême.

≡θ LuBriQue Des iDéauX LoGiQues θ≡

ʘʘ

Et clore, sur le chant, transe posée, le chemin,

rejoindre goulûment, le ventre de sa maman.

L'enfant te ment

puis sème en système à tic,

l'éprouvante épouvante

d'avoir glissé de cet antre épatant.

Et les nus âges, qui sous rien ne pleut,

enduit, la pluie, noyant le feutre

et pas tant tes cils en cieux,

songeuse, indue, son jeu du pense-mieux.

Panser les vaines errées des idéaux logiques

incarnent la prouesse de l'exploit lubrique.

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~~LES HEMATOMES CROCHUS~~ 

… Manger du chocolat,

S'en mettre plein les doigts...

Lécher les trop des moi,

Plume alléchée des encriers,

L'ancre d'hier,

Sur le fil du tant, et l 'eau quand,

En vogue, la vague s'en moque,

Et s'en suit l'évidence,

Sans suite les vies dansent,

Et perd, sévère, l'ultime tome,

Les «aime», atomes, crochus,

Les maux à coucher debout,

Les cils gracieux et plus vieux,

Qu'après, en démons émerveillent,,

Chiner nos «chiche!» et pas coupables,

Les termes éthiques, les rêves affables,

Le ressenti mental, tout chez moi, touché,

Tout les jours en vie, de rester pour toujours,

Lésiner les inénnarables images innées,

Papa plume et Maman plomb,

Materne et triste vraisemblance,

L'appât rance, à l'heure l 'enfantine,

Impératrice si déçue des si,

qu'adule les sens.

「 ,,, Le mot ment ,,, 」

Déplumer ces mots,

Poignent les faits du reflet, l'arme à l'œil amoché,

Arborer les sens consumés, clairs, semés dans les prés tendres, le doux mot ment tant ...

...Cette dictature, l 'alitée rature,

Maudite dictée de maux

et désapprendre les tôt matins,

//|| L'éMoi et Les Toits ||\\

L'émoi et les toits, où danse la pluie, denses les gouttes

sourdes, tombent, creusées dans un à part être dessein.

Éclatent les heures tuées que l'on tait,

plait à panser maintes plaies pensées.

Trempée la perle de ces tôt, futile court en des vaines,

avortent les mirages, l'écrit aux beaux milieux des minuits.

La trêve des larmes, averseés ailes,

l'aura, raison du bel ennui échoué.

S'éteint l'engin du déclin, l'ombre elle, rompt en plume

d'aplomb abîmé, démangent et crépitent en exit.

En visages et les illusions des vents très lourds

de festins, à quitter ces maux de l'afin.