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Paul Eluard
Au moindre cœur Elle se demande laquelle, Dans son devoir, accidentelle, Il l’a consumé, dans la torpeur De cette histoire, profitant piètre désespoir De l’un de l’autre, indolent le câlin Qu’il fut divin et se donner tant de mâle Palpable au moindre...
De la peur et du pire Le parfum de la peur et du pire Par les pores d’une peau éthique Et l’effort presque sans force Sent encore l’entorse rythmique D’alchimies aléatoires en chance notoire Il n’y a qu’à broyer du noir Le dire afin de quitter la sombre...
Noyade de l’inouï Ma muse est triste Et l’ennui pourtant prolifique Chers antagonismes, Et mon cœur oscilloscope, Ecope et expurge Fait de nous les plus grands dramaturges Du monde à la critique, Sans poésie aucune, Où la pensée comme une… Mais tout vient...
Battement de s'il A l'heure du sommeil indolore le dos, leurre ensommeillé en somme, s'efface son odeur tandis que la veille épuisée. Mordre d'effort trop onéreux s'attardera, alors soulage le repos honorifique viendra creuser son sillage. Tel est le...
Le Cygne noir La maldonne des malsaines résume bien la énième dépassée par les évènements des énervements inhabituels à tour de rôles et mutuelles, les abréviations jumelles, maléfique et gracieuse dès que perçue au dépourvu déploiera l'audacieuse......
PORTRAIT POUR TRAITS La gène éthique enfreint le code Des hontes aux logiques laborantines, Puisque le gêne, lui, semble lyrique Tel une ode aux labeurs enfantines Appartenant aux échos écumés Dans les dernières communes aux «taire» Jamais lésée, comment...
Le contrôle de la controverse Il fait à peine nuit et il pleure encore la fenêtre ouverte lui offrant mon corps constat des irréels dégâts, à la renverse d'avoir perdu le contrôle de la controverse les yeux peinés, perdus, plongés faut-il encore fautive...
...Gazouillis d'un cœur gâchis ... Je détourne les yeux quand apparaît son prénom car l'appât d'amour n'a aucun bravoure et cette idée m'insupporte du non moins capricieuse enfermée dans l'arrière-cour j'essaie d'y échapper, en la frôlant chaque jour...
LA DESERTION DE L'AZERTY Les hommes veulent toujours prendre les plus belles sous leurs ailes, mais les ils et et les elles essouffle le vent du pèle-mêle maintenant c'est de toi que je dois me sevrer injuste et sévère envers cette amitié que l'amour...
...Ne regardes en arrière... Le passé trépassé Et mon émoi de toi Aussi loin que cet étau Trop tôt dépourvu La bévue et les mouchoirs De l’avoir eu l’espoir Aveuglée, je ne savais pas C’que tu allais faire de moi.... Le présent, ça se sent Sera meilleur...
Quand les souvenirs Quand les souv’nirs balancent C’que t’es à l’évidence Et les vies dansent deci-delà Pour s’éloigner de l’au-delà Et le délice d’ê tre médiocre Plus simple que d’ê tre logique Donneront l’avis des autres Des poupées trop nostalgiques....
L’immobile idée... POUR FLAVIE ET JEREMIE ... ...c'est l'air de l'immobile idée... Celle peaufinant peau étiquetée Scellés vous respirez L’amour Fringant des adolescents Dans les bras et trois p’tits tours Elle fut divine puis d’épine Torsadés comme absorbée...
De ce qui reste de moi... De déceptions senties mentales En désaccord sentimentaux Sans mentor mon heure Et la tienne viendra le bonheur Des autres et le mien dans tes mains Dès demain puisque la nuit Rime avec pluie Et mes torpeurs de la suie Ne me font...
La syntonie des saints pleurs Quand tu es partie Moi j’ai pris le parti du par-dessus Tes mains me manquent tes baisers louches Touchent en plein chœur de La symphonie des saintes vertueuses Que je ne suis point Cette quête impétueuse Impératrice de l’impératif......
Mystères et boules de gommes ..... A ma sœur Chlo.... Mystères, boulettes de conne ! T’as pas compris qu’ 2011 résonne Pour toi et ceux dans l’même dégât Va falloir t’agiter les doigts Papa, maman, tes sœurs ; ils t’aiment Pourquoi refuses-tu le dilemme...
...Les céphalées des s’il fallait... J’marche à rebours Fous tout par terre Folle toute pourtour Ravage mes pairs Pendue autour de ton cou Perdue auteur de c’est tout ! A tort et de traverse cette boulimie Des je t’aime abolis Je dis enfin qu’il faut...
...Aux âmes....etc.... La bouche les appréhende quand La lucidité, dernier instant Durant lequel on ferme les yeux Le ciel devient alors bitumeux Et la gorge en aval Pour l’esprit en amont Lorsque tu avales Ce cocktail d’inhibiteurs D’émotions et de tes...
Comme Du grésil .... S’il insiste et l’autre ainsi cite Les mots doux guise de démo Résiste au trop des égards de conduite Faire comme s’il n’y a jamais d’fuite S’en vont sans vous les limites Laisse tranquille la peau ethique Sans aucune contre-visite...
...NOUS MENENT EN BATEAU Le toi d’émoi De le supporter l’étau Qui parfois Nous mène en bateau Mais bats-toi Le moi de toi Débordante bon aloi Ça pour sûr fausse la foi Mais l’effort de vertu Devient vite très charnu Et les lendemains bredouilles Regrettes...
Toi et Moi Toi en moi puis dans mes bras et l'odeur sur les draps celle de l'innocence c'est la seule chose que j'encense. Toi et moi et puis papa qui te cajole d'idole en idée folle de t'avoir donner la vie. Ce n'est pas la dernière joie d'autre viendront...
L’un dit... L’un dit oui l’autre d î nons Mettons donc cas sur l’étal D’avoir fr ô lé la déraison Et les bavures sentimentales Conduisent à peine à belle saison Idées préconçues sans escale En vrai vraiment ne me déballe Ni reçu ni récital Et crie l à...
L’autre fois Quand parfois l’enfant s’enfonce Dans ce que l’adulte dénonce Point de mimes trop âgés Pour ces mirages estropiés Et les strophes prennent le relais Celle qui catastrophe défait Et l’effet des faits de fées Irréelles et un peu mièvre D’avoir...
L’un et l’autre L’évidence dans le bon sens Acculer d’adulescence Oublie le besoin d’ambulance Déambule endimanchée Par la beauté de s’être retrouvés L’un et l’autre dans l’éloquence Chaque instant devenu instance Sans insistance s’approche puis Fr ô...
La balade du hasardeur Si les phénomènes d’effet nous mènent Jusqu’ à ce qu’on le devienne Les nerfs devinent l’énergumène Et l’abstention devient cette reine A bout de souffle qui se démène Pour t’apporter ce qui t’enchaine Te flanquer la haine Te plante...
Quand le tandem Divine devine Quand le tandem décline En tant d’aime inclinés Alors que l’idem s’abîme Dans les frasques du désarroi Et l’effroi de la déprime Des phrases dites sans réprimer La poupée inexprimée Des autres en vain envenime Ce à quoi la...
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