idées sursitaires

...Si simple thématique

devient nette symptomatique

de la symbiose fut symbolique

fond polémique d'épaule éthique

et le tempo des peux témoin

des t'aime plus, déplus aux mains

de la fascination à foison...

Les potentiels sublimatoires

soumise a l'éxécution

que l'évidence en exutoire

sévissent sur les les gènes lyriques de fin

sans réelles intentions

si le générique prend soin

de l'insu seule en solution ...

Et les fugaces citées font le défi

d'égards entiers désobéis

en fiévreuses mais affranchies

entités immuno-réprimées

en incrédules defaillantes

édulcorant fébrilité

d'être conviés à la festive idée

où l'on cultive les taire et les utilités

en choeur et encore divers

s'y fier serait-ce cela l'intimité

faire ce qu'il faut mais fausser

critiques des maîtres enchanteurs ...

dès l'aube d'avoir sans revers

les déserts rarement tari

des idées trop sursitaires.

Touchant et tout chaud

L’amour c’est touchant et tout chaud

Ca dégouline sur ma peau

Ma peur partie vers l’échafaud

D’avoir faussé les déjà faux

Les forever par cœur

Les faux rêveurs tout court

Alors Tu n’te plaindras pas

Qu’on ne t’as pas fait la cour 

Coursant l’autrui Détruit l’ennui.

Et elle continue sans issue

A l’insu de son linceul

Et lui seul de visu

Qu’elle garde pour le bel écueil

L’amour c’est touchant et tout chaud

Ca grouille sous mes bobos

De mâle en pis de mal de peau

Ethique attaque mais à tort

Ce qui pourrait être trésor.

L’un et l’autre

L’évidence dans le bon sens

Acculer d’adulescence

Oublie le besoin d’ambulance

Déambule endimanchée

Par la beauté de s’être retrouvés

L’un et l’autre dans l’éloquence

Chaque instant devenu instance

Sans insistance s’approche puis

Frôle la douce folie adoucie

D’envisager le elle et lui

Et luit la bonne toile

Défilante dévoile

Ce qui semble normal

Et le mâle d’être et d’avoir

A le prouver pour y croire.

Quand le tandem

Divine devine

Quand le tandem décline

En tant d’aime inclinés

Alors que l’idem s’abîme

Dans les frasques du désarroi

Et l’effroi de la déprime

Des phrases dites sans réprimer

La poupée inexprimée

Des autres en vain envenime

Ce à quoi la vie l’invite

Et très vite évite les hic et le toc

Prend des claques la désinvolte

Rend les armes et garde l’âme

Blême pour s’acculer du blâme.

L'heure, c'est l'heure!

L’écrit des mots doux à demi démodés

D’acquis en actes manqués

De qui en pièces détachées

Remise en kit dès l’aube entachée

Par les s’il embués

Pour ne pas dire regard trempé

De réflexions sexuelles

En relations textuelles

Aux textures conflictuelles

De la gestuelle confidentielle

De joie dois-je y céder

Me taire ou l’éternité

Le doigt sur la bouche

Les yeux, louchent...

...

Touche

...

Dring dring, il est l’heure de se quitter.