L’usine à lésiner

Il était une artiste en herbes folles, Employée dans une usine à maux,

Entourée du joli mal, Lui fabriquant des défauts

Sans n’y mettre aucun bémol, Ni m’aime autant de héros.

Les commandes périodiques Faisaient d’elle une peau éthique

Tantôt de peine ahurie, Trop tard quand la pénurie

... Mais jamais il ne suffit D’insuffler l’insuffisance,

De défier tous ces cas rances D’excès dense de l’excellence.

D’anomalie de malice Fit appel aux sévices

D’après tente et donc invente La personne en puérile

Résonnant dès l’infertile Soubresaut trop infernal

De la déprime qu’elle trimbale ...

Plie bagage et coton-tige, Sur lequel elle fit voltige Et volte face sans filer

Prit note dans cahier des charges Et nomenclature d’usures

Sans oublier dans la marge D’effacer les belles factures

Des bellâtres maitres chanteurs, n’ayant battu la mesure.

Arrêt de travail ou arrêt de travers...

 Continue la journée en calvaire...

L'attrape-mouche

D'ébats debout d'à peaux logiques

lorsque l'état d'la peau éthique

t'attrape-mouche détraque les filles

du tant des sensibles, rient

dès double ment sur la personne

d'éperonner celle qui résonne

ou celui qui le pourrait

de lui faire ce m'aime effet.

Et le fait de le décrire

sans ce besoin d'en souffrir

ne pas avoir peur des mâles

censés nous passer les maux

cette idées que tu trimballes

que ça pourrait être beau

difficile de n'pas y croire

lorsque l'on parcoure tes mots.

Que l'amour soit d'il ou d'elle

il est synonyme d'idylle

si nos mêmes sont idem

d'indélébile corps grésillent

oublions la danse totem

et les «je» de séduction

car quelque soit le dilemme

l'amour ne résiste à l'onction

Par A+B

Ne pas en vouloir aux m'aime

Sans révolter les idem

D'avoir détourner l'amère

Vers les regrets réverbèrent

les peau aiment d'apothéose

se rompent dans l'oubli des closes

à demi-maux d'éphémère

Des équilibrantes en prose.

Le calvaire des corps lovés

Contre soi des emparés

Désaccords défendus

Quand le désir suspendu

Et le petit d'à appétit

De la noce en instance

Défont les amourachés

S'arrachant d'accoutumance.

Alors s'éloignent les poignets

Censés aider d'assouvir

Virent les êtres et agités

Des envies de faire plaisir

l'épilogue des amants

En pâleur alors s'empare

l'ampleur déstabilisant

l'anamour et le manquant.

il n'y a pas que l'A+B...

Y a le reste de l'alphabet ....

De minuit à l'ennui※

Crier une lettre du firmament

d'ainsi et des dissidents

d'introspection académique

en l'outre-trombe peau éthique

famélique des fi sûrs

assoiffée de feintes figures

démérites, l'extra-vacante

introvertie certes instrumente

L'avertisse mais enfreinte

sur les sentes de l'astreinte

Et le vers tisse, l'imprègne

du vertige de ces mains

écloses sans oxygène

clôturées des écrits vains.

S`implorent traitres et fermes amantes

de ne rarement dire, clémentes

s'exclament, ne savent engamer

les blêmes assomment, à blâmer

clairsemés les si faciles

les m'aimes et les essaimées

vagues, évanouie en presqu'ils

Mais d'efface ou d`à cote

ou à fleur d`apoplexie

de profils asphyxiés

en transe verbale et répit

à ne savoir s'agacer

des aller à sans retour

de se nuire à s'ennuyer

...So right in

... writing..